Labo Edvanien

Description :C’est une amélioration de coque que l’on trouve rarement ailleurs que sur les vaisseaux de la marine. Le revêtement de coque en Kaïrouseki se constitue sur la façade extérieure de la coque du navire de plusieurs fragments de ces fameuses pierres d’un vert sombre que l’on nomme Kaïrouseki ou granit marin, le plus souvent exploité sous forme de boulons ou de billes. Il s’agit de les greffer de façon uniforme sur toute la surface immergeable de la coque du vaisseau.

Effets : Le Kaïrouseki est une pierre tout droit issue des grands fonds marins et a pour propriété de dégager la même énergie que la mer. Ceci étant, les monstres marins et autres espèces maritimes primitives ne sont en théorie pas capable de remarquer la présence du navire revêtu, permettant ainsi à celui-ci de limiter les agressions de ces énormes créatures lors de la traversée de zones infestées.







Description : Il est loin de se limiter à une seule variante. De l’extérieur, il prend la figure d’une grosse ou de deux petites roues constituées de pals nommées roues à aubes qui, lors de l’activation se mettent à battre l’eau avec la rotation de la roue. Dans le cas d’une grosse roue cylindrique, elle se situe à l’arrière du vaisseau, tandis que deux petites roues se positionnent en principe à flanc de coques sur la moitié arrière de celle-ci ; à noter que des modèles plus évolués peuvent permettre de rabattre les roues à aubes dans des compartiments intérieurs. Le moteur le plus répandu pour engendrer la rotation des roues est le moteur à vapeur à combustion au bois ou au charbon, avec évacuation de la vapeur par cheminée ou par canaux à l’arrière.

Effets : Lors de la rotation des pals une force de poussée s’exerce sur le bateau dans le sens de la rotation, ce qui s’additionne ou se substitue au déploiement des voiles pour la navigation du navire. Ce système apporte donc une moindre dépendance au vent dans la navigation, une poussée supplémentaire pouvant donner plus de puissance au déplacement du bateau ainsi qu’une capacité de marche arrière dans certains cas. Selon le choix de la position des roues à aubes, ces caractéristiques peuvent varier quelque peu : si l’on les positionne à l’arrière il en résultera une poussée plus stable et une meilleure direction, alors que plus on la place vers le centre, plus la marche-arrière sera efficace. On peut bien sûr choisir de cumuler plusieurs de ces systèmes, mais cela cumulerait également leurs défauts, car ils en ont quelques-uns. Tout d’abord ils prennent une certaine place sur le navire qui n’est pas négligeable, ensuite ils ne fonctionnent pas au sourire mais bel et bien au comburant (bois ou charbon) ou à quelque autre matériau à se procurer, et puis il y-a l’entretien, le fait que ça soit plus facile à détruire qu’à construire, et en plus en cas d’arrêt du système l’ergonomie du navire pâlit de la présence des roues, bien que ce dernier point puisse être résolu si les roues ont moyen de se rétracter dans des compartiments spéciaux en cas d’inutilisation. Au final, ce système est assez large dans sa définition, et ses capacités peuvent varier en fonction du niveau d’élaboration :

Niveau 1 : peut compatir à un navire de la taille d’une caravelle, tenue de route moyenne, exposition aux intempéries, nécessite un fréquent entretien.

Niveau 2 : peut compatir à un navire de la taille d’une frégate, peut être rabattu dans des compartiments spéciaux si non utilisation, bonne tenue de cap, système plus économique et nécessite peu d’entretien.

Niveau 3 : peut compatir à un navire de la taille d’un destroyer, peut être rabattu dans des compartiments spéciaux si non utilisation, excellente tenue de cap, 50% de poussée maximale en plus, système toujours plus économique et nécessite peu d’entretien.
Installé sur un navire de la taille d’une caravelle, permet des manœuvres de très fortes accélérations sur un court laps de temps en marche avant ou marche arrière, offrant une capacité d’esquive ou de fuite traumatisante ; ceci étant, une telle manœuvre consomme beaucoup et mieux vaut ne pas la réaliser plus que la coque ne peut le supporter.


Associé au Revêtement de coque en Kaïrouseki, le Système de propulsion par roues à aubes peut permettre de traverser Calm Belt.

J'ai une question, certes bête mais bon : Étant un utilisateur d'un fruit du démon comment fait tu pour manipulé le Kaïrouseki ?

Il lui suffit de mettre des gants. Elle est pas belle, la vie ? \o/

C'est un problème qui peut se contourner assez facilement avec des outils, et le Kaïrouseri c'est pas comme la kryptonite, on s'étale pas comme une larve à son contact. Et ces choses là me sont évidemment pas réservées, j'ai juste pompé le manga pour trouver un moyen de traverser Calm Belt.