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South Blue, juste à son retour, un nouveau combat l'attendait [Solo & Background]

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South Blue, juste à son retour, un nouveau combat l'attendait [Solo & Background] Empty South Blue, juste à son retour, un nouveau combat l'attendait [Solo & Background]

Message par Donald W. Nottingham Lun 31 Mai - 15:24

    South Blue, juste à son retour, un nouveau combat l’attendait :

    Il faisait encore nuit lorsque le commandant Sandy revint avec son premier lieutenant et second, Donald W. Nottingham. Ce dernier avait livré bataille contre un très puissant révolutionnaire, ce dernier possédait un pouvoir titanesque, en effet la capacité de générer de gros tremblements de terre était synonyme de domination et de peur. Cet individu avait donc la possibilité de détruire le monde à l’aide de ses mains comme il le désirait. Vous imaginez un tel pouvoir tombant entre les mains d’un véritable détraqué ? Oui, mieux vaut ne pas y penser. Même si le duel tourna en sa défaveur, le militaire quant à lui était fier d’avoir tenu face à un tel adversaire et son supérieur également après avoir entendu certains échos de la part des unités de Sabaody. Mais aujourd’hui le travail appelait déjà notre héros ! Aucune minute de répit quasiment, c’était invivable…

    Cette fois-ci, un homme-poisson très vicieux, d’une envergue assez impressionnante et à la force prodigieuse terrorisait depuis quelques semaines déjà une petite île sans nom, se trouvant sur South Blue. Avant qu’il n’étende son influence sur l’océan tout entier, mieux valait l’appréhender le plus vite possible, et c’est ce pourquoi Donald demanda à Sandy d’y aller, afin de montrer à son capitaine qu’il était digne d’officier au poste de Second sur le vaisseau. Ce n’est qu’en soirée, vers vingt heures que le lieutenant Nottingham se dirigea vers une des chaloupes accrochées aux dispositifs permettant de les descendre et de les remonter, pour comme vous l’aurez certainement compris, en mettre une à la mer afin de faire route jusqu’à la dite île et mettre aux arrêts l’homme-poisson. Il ne faisait aucun doute que cette mission se passerait bien, cependant dans un équipage, c’est avec une certaine anxiété que l’on regarde un des membres partir au loin tout en ne sachant pas s’il reviendra vivant ou mort…

    Au moment de partir, notre gentleman jugea utile d’expliquer quelques « détails » avant de partir en mission, car avant toute chose il ne fallait pas inquiéter ses coéquipiers, cela allait de soi :

    « Ne vous inquiétez pas capitaine, et vous aussi très cher(e)s collègues, je n’ai nullement l’intention d’y rester, je reviendrai sain et sauf je vous en fais la promesse. Aussi, je m’excuse sincèrement de ne pas pouvoir rester plus en votre compagnie, en effet revenir ici pour repartir aussitôt fait un peu malpoli, pardonnez-moi encore… »

    Ensuite, c’est avec détermination qu’il sauta dans la barque pour enfin détacher la corde le raccordant au navire des Gyakusatsu. Petit à petit, la petite embarcation s’éloignait du vaisseau, Donald regardait se dernier franchir la ligne d’horizon éclairée par les rayons lunaires. Un spectacle magnifique et éblouissant à la fois, vous transportant dans un tout autre monde… Cependant, pour en revenir à nos moutons, Duck se retrouvait seul, au milieu de l’océan avec deux rames à sa disposition pour naviguer, le strict minimum certes, mais il n’avait besoin que de ça pour accéder à l’île maintenue sous le joug de l’oppresseur. Mais bon, le tout n’était pas de ramer, mais de faire attention à soi car des monstres marins pourraient traîner au fond de l’eau et venir tenter de le dévorer d’un seul coup de mâchoire. Toutefois, le marine serait en mesure de lutter face à de telles bêtes avec son formidable pouvoir, et même ne serait-ce qu’avec sa nouvelle arme, aussi dévastatrice qu’insolite !

    Vingt et une heure, il faisait nuit, aucune lumière mis à part celle de la Lune (faible) n’éclairait la traversée de Donald, au final, ce n’était qu’un individu, seul, perdu dans la nuit. Debout sur son petit bateau, regardant fixement la Lune trôner au sommet des ténèbres, Duck pensa cette fois-ci à ce qu’il ferait une fois que ses très chers parents seraient devant lui, devrait t’-il rentrer à la maison ou bien continuer à officier dans la Marine comme un bon petit soldat ? Tout fut chamboulé dans sa tête par ces diverses pensées, assez mauvaises cependant car provoquant l’anxiété chez notre héros. Plus il y pensait, et plus sa colère s’intensifiait, à tel point qu’il était facile de déterminer le sentiment qu’il éprouvait rien qu’en observant les traits se dessinant sur son visage. Soudain, notre ami tomba sur les genoux, le choc en fit pratiquement chavirer la barque mais ce dernier ne le remarqua même pas, et pour cause, il était perdu dans ses pensées, les joies et les tristesses se mélangeant, il se tenait la tête, il souffrait, des larmes commencèrent bientôt à couler le long de ses joues si ravissantes en temps normal. Il tremblait, il avait froid, le pauvre…

    Les sentiments se mirent alors à assaillir son âme déjà si fragile en la mettant à rude épreuve. Dans son état, la moindre chose indésirable qui viendrait l’importuner serait automatiquement anéantie, quelle scène effrayante… Les gémissements virent s’ajouter à tout cela, notre ami craquait psychologiquement, à croire que cela devait arriver un jour ou l’autre. Soudain, un monstre marin surgit de l’eau, probablement appâté par l’odeur de chair humaine, il sortit lentement de l’eau, regardant Donald. Ce dernier quant à lui et tout en tournant sa tête, le fixait à tel point que son regard resta figé dans l’air. Un regard meurtrier, comme si notre marine préféré voulait passer ses nerfs dessus en le massacrant. Pour l’envoyer valser, le jeune gentil homme lui colla un gros uppercut à la manière d’un grand boxeur. Comment ? Au moyen de la technique que vous commencez à bien connaître : Gen’kotsu no Doku. Le poing vengeur. Ce dernier vint percuter de plein fouet le menton du monstre générant un bruit assourdissant, le faisant décoller à plus d’une dizaine de mètres au-dessus de l’eau et en arrière, ce qui l’infecta par la suite. Il retomba dans l’eau, une véritable bombe qui donna un violent remoud à l’eau. Ainsi, une fine pluie s’abattit sur le marine, humidifiant un peu ses habits et dissimulant ses larmes.

    « Il ne fallait pas venir… C’est pas malin *Donald regarde ses pieds, laissant ses larmes couler, pensant à ses parents disparus et à toutes les personnes qu’il dut tuer auparavant.*, tu ne serais pas venu, tu ne serais pas mort. Regarde dans quel état tu es maintenant ! »

    Après ce bref moment de dérive, notre lieutenant reprit peu à peu ses esprits, tant bien que mal certes mais il tentait tout de même. Revenir à un état serein était primordial pour le bon déroulement de l’opération sauvetage, car la moindre erreur pourrait coûter la vie à de nombreux civils innocents…

    Minuit, l’heure où Duck débarqua sur l’île, un véritable désert sur le port, personne ne le gardait, enfin me direz-vous, cela ne servirait à rien de surveiller un port sans bateaux, mais tout de même ceci était très étrange. Enfin, ne s’attardant pas là-dessus, le marine progressa dans sa traversée, en effet la ville contrôlée par le tyran se situait en plein centre de l’île, et le seul moyen d’y parvenir était de traverser les plaines, cependant ces dernières n’étaient pas des plaines ordinaires loin de là… Pourquoi ? Et bien diverses bêtes féroces rôdaient dans le coin selon certaines rumeurs, la nuit c’était encore pire car on ne voyait pratiquement rien à deux mètres devant soi, c’est entre autre pour cela que les habitants ne pouvaient pas s’échapper de leur ville envahie. Ne croyant pas en cette stupide rumeur, le lieutenant Nottingham s’avança d’un bon pas, marchant droit devant lui les mains dans le dos posées contre ses lombaires. Notre ami se tranquillisait peu à peu, marcher lui procurait un certain bien-être, inexplicable cependant. L’atmosphère était dégagée, l’air pur, une légère et agréable brise venant enlacer notre héros, et la Lune, face à lui, lui montrant le chemin à emprunter pour se rendre où il le désirait.

    C’était difficile de croire que certaines bêtes dévoreuses d’hommes vivaient dans ces plaines, car ici pour être honnête il n’y avait pas un chat. Cela n’était sans doute que de stupides rumeurs maintenant un climat constant de crainte en ville. Cependant, notre héros tenait fermement son sabre, prêt à le sortir pour donner la mort à tous les importuns, oui, tenter de ne jamais blesser ses adversaires devenait vraiment dangereux. Devenir plus méchant était nécessaire, même si Marine = Paix dans la tête de certains, ce n’est pas pour autant qu’il fallait se laisser marcher dessus et ça, notre ami le comprit bien assez tôt pour y remédier. Savoir se faire respecter sans pour autant passer pour une personne cruelle possédant un cœur de pierre, voilà le challenge que s’était imposé Duck, un des plus difficiles car cela allait à l’encontre de quasiment tous ses principes. Cet homme-poisson donc, serait tué très certainement, pourquoi ? Et bien le lieutenant Nottingham doutait fort que ce dernier se rende sans opposer de résistances, et donc il serait forcé de le supprimer pour stopper ses horribles méfaits.

    Soudain, un bruit alerta Donald, comme si quelque chose ou quelqu’un sortit d’un buisson à toute vitesse pour on ne sait quelle raison. Qui sait, peut-être que les dires des racontars étaient bel et bien vrais après tout, peut-être y avait t’-il dans les parages, des monstres assoiffés de sang et de chair humaine… Comme notre ami se trouvait être un éternel chanceux, un monstre surgit de l’obscurité, enfin un monstre, juste un ours très imposant, peut-être un grizzly ou autre. Ses griffes étaient horriblement sales, probablement porteuses de maladies. Sa mâchoire pouvait briser n’importe quoi à première vue, et son pelage noir ajoutait une touche d’effroi à la simple vue de l’animal. Et cette belle bête, Duck allait devoir la tuer pour ne pas se faire attaquer, car même s’il ne bougeait pas, l’ours était condamné à périr dans la souffrance.

    Au moment où ce dernier s’abattit sur sa proie pattes en avant, Donald sortit son épée rapidement et l’employa pour transpercer le cœur de l’animal enragé, le tuant sur le coup. Au moment où il sortit Amagumo du cadavre, cette dernière était un peu plus rouge qu’avant, une nouvelle victime vint s’ajouter à son «palmarès sanglant» pour ainsi dire. Il ne lui a fallu que trois petites secondes pour mettre fin à la vie d’un être vivant, quelle tragique fin, mais tant pis pour lui, inutile de s’appesantir sur son erreur. Après ce bref contretemps, le marine reprit sa route, il n’était pas encore arrivé à destination, loin de là ! Il n’était plus question de traîner désormais, ne pas courir non plus attention, juste éviter de trop lambiner en chemin. À présent, l’heure était : Une heure trente-quatre, attaquer de nuit lorsque les gens dorment serait le meilleur moyen de prendre l’avantage sur ses nombreux ennemis. De plus, le gentil homme ne pouvait surfer sur sa vague de poison, cela dégraderait tout, mais aussi cela alerterait tous les gardes, vraiment dommage…

    « Ce maudit trajet me paraît long, et je ne peux pas employer un moyen plus radical pour me déplacer, aussi je déteste courir donc autant prendre mon mal en patience et espérer que le jour ne se lève pas avant cinq ou six heures, sinon mon stratagème ne fonctionnera pas et je serai bon pour en élaborer un autre à l’arrache et foireux à quatre-vingt-dix pour cent… Soit, j’espère ne pas être retardé davantage par des gêneurs, cela serait embêtant. »

    Plus il avançait, plus la température baissait, nous avions beau être sur South Blue, la nuit, l’air se rafraîchissait quand même, les grillons sifflaient tels des fous furieux, témoignant de leur présence dans les hautes herbes, les lucioles virent très bientôt percuter le visage de Donald, et fondirent pratiquement à son contact, cruelle destinée mais que voulez-vous… Ce même visage ne traduisait aucune expression, on aurait pu penser qu’il ne se concentrait que sur sa mission, tel un officier aguerrit songeant uniquement à son devoir en tant que membre des forces navales. Tel un assassin, ses pas ne généraient aucun bruit, Duck parvint à effacer sa présence, exactement comme le font les ninjas. Dans ces conditions, il lui serait aisé de supprimer une bande d’ennemis en ne se faisant ni voir ni entendre. Aujourd’hui, ce fut donc une formidable leçon, s’effacer pour mieux procéder. Oui… De plus, adopter une marche rapide ne serait pas superflu pour semer certains ennemis tout en restant discret et naturel ce stratagème était parfait.

    Le village se rapprochait de plus en plus, son animosité, son ambiance macabre, sa fièvre, étrangement Donald était capable de la ressentir et ce à des centaines de mètres de là ! Vraiment passionnant… Bientôt deux heures, le village n’était plus qu’à une petite centaine de mètres, son but allait finalement être atteint, Duck allait pouvoir supprimer tous les nuisibles et rentrer bien sagement au bercail. Dans ce même village, aucune lumière n’éclairait l’entrée, sûrement un coup des hommes-poissons, se cachant dans la pénombre afin de mieux surprendre les importuns tentant de pénétrer dans «leur» ville pour les anéantir.

    Voilà, désormais le lieutenant Nottingham faisait face à cette petite bourgade, à première vue cette dernière n’avait pas encore l’air trop mal, l’état des habitations était plus ou moins correct, les toits tenaient encore, les portes étaient toujours debout, les carreaux n’étaient pas cassés mis à part certains, probablement détériorés par les enfants jouant au ballon de la journée après l’école. Les puits n’avaient subi aucune dégradation, les seaux ne furent pas dérobés non plus. C’était étrange pour des envahisseurs de tout laisser intact, enfin, dominer quelque chose de ravagé ne serait pas une chose amusante me direz-vous… Le vent soufflait, soulevant quelques fins nuages de poussière, le sifflement que ce phénomène provoqua pouvait effrayer les moins téméraires, la Lune paraissait bien plus menaçante dans le ciel, éclairant la bourgade toute entière, à l’intérieur des maisons, tout était saccagés, des tableaux brisés, des fauteuils et des chaises retournées, de la vaisselle explosée contre le parquet des maisons également. Les apparences sont parfois trompeuses comme le souligne si bien ce vieux dicton… Cette terrible situation ne pouvait plus durer, ce fléau devait être éradiqué de l’île au plus vite afin de tranquilliser la population pour un bon moment.

    Soudain notre ami aperçut un homme-raie, mesurant environ deux mètres de haut pour un mètre de large, un véritable colosse, probablement plus puissant physiquement que lui… Mais ne vous fiez pas à cette première impression, de plus vous connaissez bien Donald, ne jamais le sous-estimer car il n’était pas rare de le regretter amèrement par la suite ! Arrivé dans son dos sans faire aucun bruit, il sauta afin d’arriver à la même hauteur que lui, ensuite il sortit son épée avec une élégance hors du commun. Pour terminer notre héros plaça sa main gauche sur la bouche de l’homme poisson tout en l’entrainant vers l’arrière, puis il entoura fermement ses jambes avec les siennes pour l’empêcher de faire le moindre mouvement et pour mettre un terme à tout ceci, Duck lui trancha la gorge silencieusement, tombant au sol. La gorge de son ennemi fut grande ouverte, celle-ci laissait échapper des flots de sang imprégnant le sol humide de la ville. Voulant se faire repérer par toute la garde afin de la liquider d’un seul coup, il ne dé plaça pas le corps de celui à qui il venait d’ôter la vie, aussi les autres seraient tellement fous furieux à la vue de leur compagnon égorgé qu’ils ne discerneraient pratiquement plus rien et commettraient de grosses erreurs que Donald serait libre d’exploiter, comme foncer tête baissée sur lui qui était la pire chose à faire. Une espèce de poisson-clown sur pattes était hors de lui, son ami fut tué par un sale humain !

    « Maudit être inférieur que tu es ! Tu as massacré un de nos frères, tu vas devoir le payer de ta vie, nous allons devoir te tuer cinq fois pour cet affront envers notre race, prépare toi à déguster sale humain… »

    « Ah ah… Sale humain ? J’ignore moi-même si je peux encore être qualifié de tel, autant sur le point de vue moral que physique… Etre inférieur affirmes-tu ? Laisse-moi te prouver le contraire mon grand. Massacré ton camarade ? N’exagère pas non plus et puis comparé à tous vos meurtres et à tout ce que vous avez fait à ses pauvres gens, c’est du pipi de chat et ensuite tu oses encore te plaindre ? Pas de chance les gars mais vous avez réussi à me foutre en pétard… Vous allez tous y passer je le sens. »

    Subitement, une dizaine d’hommes-poissons surgirent des quatre coins de la ville, comme si cette dernière était une fourmilière vous vous rendez compte ? Derrière eux se trouvait un homme-requin bien plus grand et bien plus impressionnant que les autres, probablement le chef et l’investigateur de toute cette terreur, celui à abattre. Si ce dernier était arrêté ou tué, tout serait définitivement réglé et Duck pourrait de ce fait rentrer au navire des Gyakusatsu tranquillement. Ce type envoya tous ses hommes combattre le marine vengeur, armés de leur courage, leur détermination et de quelques épées, ils foncèrent sur lui afin de lui planter leurs surins et le châtier pour avoir tué leur frère. Ce dernier sorti Amagumo de son fourreau rouge, qui s’accordera parfaitement à cette magnifique soirée, en effet cette dernière sera teintée du sang de ses ennemis… Donald laissa ses adversaires approcher doucement vers lui, puis une fois à bonne distance (c’est-à-dire dans un rayon de cinq mètres), notre héros ouvrit subitement les yeux et hurla :

    « Death Whip !!! »

    L’homme poison fit tourner le fouet de la mort empoisonné dans tous les sens, décapitant certains et en mutilant d’autres à plusieurs reprises, faisant gicler le sang, ce dernier ne s’ arrêtait pas de couler et sur la lame … Magnifique, cette nuit fut celle du carnage total pour la survie de toute une population ayant visiblement fuit, mais qui reviendra, qui reprendra une vie plus ou moins normale en oubliant toutes ces horreurs. Les murs des habitations furent barbouillés d’hémoglobine, les cheveux ainsi que tous les vêtements de Donald subirent le même sort. Son visage était plein de sang, une vision d’horreur, une véritable bête venue de l’enfer pour extirper la vie des envahisseurs de la manière la plus barbare qui soit : le meurtre…

    Le chef des hommes-poissons (bien que ce titre ne signifiait plus rien désormais, car il ne restait personne à dominer) fut terrifié par la scène qui se déroula sous ces yeux éberlués, celui-ci venait de rencontrer quelqu’un encore plus monstrueux et plus cruel que lui… Ce dernier ne savait plus quoi faire, se sauver ou le combattre en risquant sa vie ? Hum, dans ces cas-là on peut facilement reconnaître les poules mouillées ainsi que les lâches de la pire espèce fuyant au moindre danger. Et cela voyez-vous chers amis, Duck en avait une sainte horreur, encore pire que les mensonges et les coups bas, vraiment les gens sont de pire en pire avec le temps et ce phénomène n’est pas prêt de s’arrêter en si bon chemin… C’est alors que le Commandant Nottingham s’adressa au chef déchu, sur un ton froid, en le regardant d’un air mort et plein de morosité :

    « Ne t’inquiète pas, j’ai besoin de toi vivant afin de prouver à mes supérieurs que j’ai parfaitement rempli ma mission sur cette île, donc même avec toutes les victimes que tu as pu faire jusqu’à maintenant, je ne te massacrerai pas comme tous tes frères mais je ne garantis rien en ce qui concerne ta vie après l’arrestation et le jugement qui s’en suivra. Donc s’il te plaît, ne fais pas d’histoires et tout ira pour le mieux, et n’oublie surtout pas que je peux te tuer à tout moment… »

    Aussi étrange que cela puisse paraître, cet être méprisable nommé Monstro accepta de se rendre en présentant ses deux mains devant lui afin que son ennemi le mette aux arrêts. Effectivement ce dernier était loin d’être idiot car mieux valait se rendre que de se faire supprimer en à peine trois secondes par un gars totalement instable. Jusqu’au petit matin, nos protagonistes attendirent les forces navales, assis sur des rondins de bois, Donald quant à lui fixait Monstro, enfin fixer, il le surveillait plus qu’autre chose mais bon vous m’avez compris je suppose. A la fin de l’histoire, les méchants ne gagnent jamais, c’est bien connu, quoique…


J'ignore s'il reste des fautes d'orthographe, si tel est le cas veuillez m'en excuser.
Donald W. Nottingham
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